Il lance du sauvage
Grogne
Renifle les restes
Regarde ma pile de livres
Coincé dans ce bois industriel, ni brûlé, ni arraché
Juste un bois exploité
Ce pied de table basse
Dernier refuge pour lui
Ou alors c’est moi
Qui imagine n’importe quoi
Avec les yeux du bois